Confessions brûlantes
Vous êtes de plus en plus nombreux à nous confier vos expériences SM.Normal, les jeux et les plaisirs sont fait pour être partagés, non ? Si l’on en croit vos courriers, vos fantasmes sont très présents. Les pages qui suivent sont les vôtres.Bonne lecture !
Ce site ne fait en aucun cas l’éloge ni l’apologie des thèmes présentés dans ces pages, mais ne fait que rapporter les fantasmes entre adultes consentants. La direction.
Dévoué domestique

Je suis petit et roux. Un peu rondelet aussi. Légèrement dégarni. Pas un sex-symbol. Et pourtant, j’ai la plus belle femme du monde. Sophie travaille pour une revue sur le cinéma. Elle est blonde, aux cheveux courts. Elle se farde le visage de poudre blanche, pour avoir un teint blafard qui met en valeur ses traits parfaits, et porte des tenues vintage, façon dame des années 1950. Elle a aussi une magnifique rose tatouée sur l’épaule droite. Je suis un artiste plasticien. Je suis prof dans un lycée, également. Sophie, je l’ai rencontrée à un vernissage, un soir. Elle est venue droit vers moi. Sa voix était chaude, mais son regard était très dur. J’en suis tombé amoureux. Elle m’a donné rendez- vous, sans vraiment me laisser le choix, dans son appartement, le lendemain. Toute la nuit, et toute la journée, je n’ai fait que penser à elle, comme un gamin exalté. Elle m’a très bien reçu. Coupes de champagne et petits fours. Elle était vétue entièrement de blanc, et les murs de son salon, peints en noir, étaient recouverts de photos d’elle et de ses soumis. Elle annonçait la couleur. Nous vivons ensemble depuis trois ans. Je suis toujours aussi amoureux. Sophie, je n’en sais rien. Je crois qu’elle est très attachée à moi. Nous avons construit une réelle relation SM. J’aurais des milliards d’anecdotes, mais il y en a une que j’ai envie de raconter. Sophie, un jour, a posté une annonce sur un site pour la chambre du fond, dans notre appartement situé près de République. Elle a prévenu, « présence d’un esclave ». Beaucoup de curieux ont répondu à l’annonce, mais tout particulièrement une jeune fille, qui semblait révoltée. Sophie l’a rassurée en quelques mots, pour lui dire que c’était un jeu partagé. La jeune fille en question est venue visiter un samedi après-midi. Elle était très jolie. Quand elle m’a aperçu, les chevilles entravées et rattachées aux mains par une longue chaîne, vêtu d’un body en latex, elle a été stupéfiée. Pendant toute la conversation qu’elle a eue avec nous, elle a évité soigneusement le sujet qui la préoccupait, mais son regard passait fébrilement de Sophie à moi. C’était très marrant d’être déguisé ainsi en public, mais une fois la jeune fille repartie, Sophie m’a permis de m’occuper de son corps nu, à même le carrelage de la cuisine, pendant deux bonnes heures. Elle m’a même retiré les liens des poignets. Je me suis frotté à elle avec passion, j’ai joui sur son ventre. C’était divin.

Jacques, 35 ans, Paris



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